### Introduction

Dans un futur proche, la question du stationnement urbain se transforme, répondant aux évolutions des moyens de transport individuels et collectifs. Ce projet s’inspire de l’évolution des habitudes de déplacement et des modes de vie pour imaginer un espace de stationnement polyvalent et adaptable, intégré à une structure brutaliste sur cinq niveaux. En puisant dans les réflexions de sociologues contemporains, ce projet explore la modularité des usages, l’évolutibilité des espaces et la fluidité des fonctions. En parallèle, il intègre une gestion intelligente et écologique des ressources telles que l’eau, la chaleur, les données et la lumière.

### Une Structure Brutaliste Polyvalente

La structure de base, une architecture brutaliste rationnelle, offre une ossature robuste apte à accueillir divers modules d’usage. Comme le souligne Henri Lefebvre, « l’espace social est un produit social » (Lefebvre, 1974). Ainsi, ce parking brutaliste se transforme en un lieu de vie dynamique et multifonctionnel, reflétant les besoins et les activités des utilisateurs.

### Hybridation et Modularité des Espaces

1. **Fermes Urbaines**
La mise en place de fermes urbaines sur les différents niveaux du parking répond aux enjeux de durabilité et de sécurité alimentaire. Richard Sennett évoque l’importance de la résilience urbaine, déclarant que les villes doivent être capables de « plier mais non casser » (Sennett, 2018). Un exemple concret est le bâtiment d’agriculture urbaine à Romainville, conçu pour être un lieu de vie et de rencontre au cœur de la ville [oai_citation:1,Bâtiment d’agriculture urbaine – Romainville (93) | CoBe](https://cobe.fr/batiment-dagriculture-urbaine-romainville-93/).

2. **Espaces d’Expériences Virtuelles**
En intégrant des technologies immersives, ces espaces offrent des expériences virtuelles enrichissant la vie quotidienne et professionnelle. Manuel Castells décrit la société en réseau comme étant dominée par l’information et les réseaux de communication (Castells, 1996), ce qui est ici matérialisé par des espaces de réalité virtuelle.

3. **Habitations Nomades et Balises Urbaines**
Les balises urbaines sont des habitacles pour des nomades urbains, offrant une solution flexible pour l’hébergement temporaire dans la ville [oai_citation:2,Bâtiment d’agriculture urbaine – Romainville (93) | CoBe](https://cobe.fr/batiment-dagriculture-urbaine-romainville-93/). John Urry, dans « Mobilities », souligne l’importance de la fluidité et de la mobilité dans les sociétés modernes (Urry, 2007).

4. **Installations de Jeux et Sports Urbains**
Ces installations dynamisent l’espace urbain, créant des points de rencontre et d’interaction sociale. Jane Jacobs a toujours soutenu que « les grandes villes ont besoin de diversité » (Jacobs, 1961), et ces espaces répondent à cette exigence en offrant des activités variées et accessibles à tous.

5. **Commerces de Proximité, Tiers-Lieux et Coworking**
En intégrant des commerces de proximité, des tiers-lieux et des espaces de coworking, le projet crée un écosystème urbain autosuffisant. Ray Oldenburg souligne l’importance des « troisièmes lieux » pour la vie communautaire (Oldenburg, 1989), ce qui est ici concrétisé par une offre de services diversifiés et interconnectés.

### Gestion Intelligente et Écologique des Ressources

La gestion des ressources est au cœur de ce projet, avec une approche intégrée et intelligente des flux d’eau, de chaleur, de données et de lumière.

1. **Gestion de l’Eau**
La collecte et le recyclage des eaux de pluie sont essentiels pour réduire la consommation d’eau potable. Des systèmes de filtration et de réutilisation permettent de répondre aux besoins des fermes urbaines et des espaces communs, reflétant les principes de durabilité évoqués par Vandana Shiva dans « Water Wars » (Shiva, 2002).

2. **Gestion de la Chaleur**
L’utilisation de technologies de récupération de chaleur, couplée à des systèmes de chauffage passif, optimise l’efficacité énergétique du bâtiment. Selon Amory Lovins, l’efficacité énergétique est une pierre angulaire de la durabilité (Lovins, 2005).

3. **Gestion des Données (Informations)**
Une intelligence artificielle distribuée gère les flux de données pour optimiser les usages et les ressources. Cette gestion des informations est cruciale dans la société en réseau, comme le souligne Castells (1996). La collecte et l’analyse de données en temps réel permettent une réponse rapide et adaptée aux besoins des utilisateurs.

4. **Gestion de la Lumière**
L’éclairage naturel est maximisé grâce à des puits de lumière et des surfaces réfléchissantes, réduisant la dépendance aux sources artificielles. L’utilisation de capteurs de lumière et de technologies LED adaptatives assure un éclairage efficace et économe en énergie. Comme le suggère Jan Gehl, la lumière joue un rôle crucial dans la qualité des espaces urbains (Gehl, 2010).

### Conclusion

Ce projet de stationnement futuriste, en intégrant modularité, évolutibilité et gestion intelligente des ressources, offre une vision novatrice de l’espace urbain. En s’appuyant sur les réflexions de sociologues contemporains et en intégrant des solutions écologiques et technologiques avancées, il propose un modèle adaptable et durable pour les villes de demain.

Références :

1. Lefebvre, H. (1974). La production de l’espace. Anthropos.
2. Sennett, R. (2018). Building and Dwelling: Ethics for the City. Penguin Books.
3. Castells, M. (1996). The Rise of the Network Society. Blackwell.
4. Jacobs, J. (1961). The Death and Life of Great American Cities. Random House.
5. Oldenburg, R. (1989). The Great Good Place. Marlowe & Company.
6. Urry, J. (2007). Mobilities. Polity Press.
7. Shiva, V. (2002). Water Wars: Privatization, Pollution, and Profit. South End Press.
8. Lovins, A. (2005). Winning the Oil Endgame. Rocky Mountain Institute.
9. Gehl, J. (2010). Cities for People. Island Press.









Le titulaire des droits autorise toute exploitation des œuvres, y compris à des fins commerciales, ainsi que la création d’œuvres dérivées, dont la distribution est également autorisé sans restriction, à condition de les attribuer à son l’auteur en citant le nom de IFJ ARCHITECTURE.

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Un Tiny house est par définition hors contexte particulier. L’architecture de celui-ci est par conséquente hyper contextuel, dans le sens ou elle est en dialogue avec divers environnements à la fois. ces environnements peuvent être local, temporel ou sociaux.

Le projet Tinyhouse OZ est ainsi un champ de dialogue esthétique, technique et fonctionnel, entre l’habitacle et son milieu, à travers le bien-être de l’habitant, son rapport aux cohabitants et à l’environnement. c’est ainsi un questionnement sur ce qui relève de l’essentiel dans l’art d’habiter le dynamisme.


Le projet Tinyhouse OZ commence par une réflexion de ce qui constitue l’essence de l’Habiter à travers le recoupement de plusieurs scénarios d’habitations possibles.

Distingué en quatre espaces : Stimulation, Repas, Hygiène, Sommeil, à l’instar des cycles d’activités qui rythme nos journées, ces espaces se formalisent en modules interchangeables.


L’espace de stimulation est neutre et libre avec une partie en surélévation permettant des activités aussi bien assises que debout.
L’espace de repas abrite un module cuisine multifonctionnel accessible de chaque côté. Les panneaux, en partie basse, se déploient de manière à composer une grande table à manger.
L’espace d’hygiène est aussi l’espace technique. Une partie centrale, surélevée au-dessus des équipements techniques, comporte une double vasque, un sanitaire et une cuve de rétention d’eau. Elle est bordée par deux circulations dont l’une sert aussi de douche dans toute sa longueur. Le sol de cette douche est composé de planches en bois. Ces planches se soulèvent pour laisser l’accès à une généreuse baignoire.
L’espace de sommeil est réduit, néanmoins de manière confortable, aux dimensions des nombres de couchage nécessaire selon les types de cottages. L’ensemble de sa surface est légèrement surélevé. Des rangements sont prévus en dessous de chaque planche qui compose le sol.

Tiny house OZ est la résultante d’un assemblage in situ et in tempo de modules d’activités. Cette modulabilité lui permet une variation d’assemblage au regard des différents nombres de locataires. Cela facilite son entretient et son évolution dans le temps car chaque module peut être remplacé pour s’adapter aux besoins et exigences qui évoluent.

Chaque module partage les dimensions standard des conteneurs marchands pour faciliter son transport et son entreposage.

Suspendu et fixés entre eux, les modules composant la Tinyhouse OZ s’amarrent au lieu par le biais de potelets bois ou acier selon la nature du sol. Il s’adapte donc à tout type de contexte et son impact environnemental lors de l’installation est par conséquent minimisé.

 

Dans la continuité des modules d’habitacles, une cascade de terrasse suspendue relie l’habitacle au sol naturel sans pour autant se poser dessus laissant le parterre naturel filer en dessus. Certaines de ces terrasses, en étant dans la continuité des espaces intérieurs, permettent de les agrandir lorsque la météo s’y prête.


Les fenêtres sont dimensionnées et disposées de manière réfléchie en fonction de chaque espace de manière à former des lieux de contemplation dans l’habitacle et invitant à se nicher pour profiter du paysage. Le positionnement des ouvertures permet également d’optimiser l’apport ou la protection d’éclairage naturel et de la circulation de l’air.

Le projet TinyHouse OZ emplois des matériaux écoresponsables et respectueux de la santé tel que le bois, le chanvre, la laine. En guise de second peau, au dessus des panneaux extérieurs en bois hydrofuge, des lés feutrés ou tréssés sont fixés sur des poutrelles en treillis de bambou pour ajuster les performances techniques de l’enveloppe tout en la laissant respirer. Au niveau des portes et fenêtres, des piquets et des tirants servent à soulever cette bâche de feutre, sur laquelle, des repères indiquent la possibilité à certaines zones d’être entaillé pour laisser passer la lumière en guise de brise soleil. Des poches cousues à certains endroits offrent la possibilité de proposer des plantations légères.


Les parois intérieures sont composées de toiles feutrées pliées et cousues à travers une gamme de choix de motifs ou de matériaux visant à obtenir divers propriété mécanique, thermique, acoustique.


L’esthétique en étant la résultante des caractéristiques recherchés. Tiny house OZ est l’expression d’une architecture autonome. Le volume, les ouvertures et les matériaux visent à un échange avec l’environnement naturel. En jouant avec les ressources, le projet questionne la limite intérieur / extérieur.

Habiter une Tiny house est un moment d’évasion et de rituel social.
C’est une aventure qui marque une discontinuité dans les activités répétitives de la vie comme un hiatus qui permet de retrouver un rythme, un temps d’inspiration.

À travers un confort simplifié le projet Tinyhouse Oz tente de rapprocher l’habitant à son environnement, sa structure légère vise en même temps à minimiser son impact écologique et à s’adapter à tout type de terrain. La modulabilité du projet facilite son entretien et son évolution et permet une diversité typologique. Les matériaux naturels, les volumes, les ouvertures stratégiques, l’enveloppe permettent divers échanges avec les ressources brutes inhérentes à la nature.

Tinyhouse Oz est l’ancre qui permet à chacun de s’amarrer à la nature, c’est aussi une bulle qui nous relie aux êtres avec qui nous
partageons l’aventure.

Le vent avait déposé la maison tout doucement au beau milieu d’un pays d’une beauté prodigieuse. De ravissants parterres de gazon verdoyaient sous des arbres majestueux, lourds de fruits savoureux. Des fleurs superbes formaient des massifs de tous côtés, et des oiseaux au plumage rare et étincelant chantaient et voletaient dans les arbres et les buissons.

Lyman Frank Baum, Le Magicien d’Oz, 1900, trad. Marcelle Gauwin

Le titulaire des droits autorise toute exploitation des œuvres, y compris à des fins commerciales, ainsi que la création d’œuvres dérivées, dont la distribution est également autorisé sans restriction, à condition de les attribuer à son l’auteur en citant le nom de IFJ ARCHITECTURE.

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Les achats en ligne et le shopping physique sont deux comportements d’achat fortement plébiscités par les consommateurs, sans que l’un ne supplante réellement l’autre, difficile de dessiner avec précision les contours du comportement d’achat type de demain. Mais en réalité pourquoi chercher à les dissocier ? Et si la solution résidait dans la fusion entre le physique et le digital ? Le magasin du futur consiste en une expérience immersive, un lieu de vie combinant conventionnel et innovation.

La révolution du parcours d’achat s’articule autour de trois axes majeurs visant nouvel expérience globale.

L’axe spatial

éphémérisation

Cette boutique pionnière bouscule les règles traditionnelles du commerce en créant une expérience de vente inédite. Vous avez besoin d’un article de sport précis ? Vous souhaitez vous procurer un nouvel équipement pour vos loisirs sportifs ? Si vous aviez l’habitude d’arpenter les rayons du magasin à la recherche du produit tant convoité, il vous suffit désormais de trouver la borne la plus proche pour en faire l’acquisition. Ce nouveau mode de consommation permet ainsi une appropriation spontanée, plus rapide et donc plus efficace, grâce à des points de vente innovants parsemés à travers la ville…

Le sport et ses valeurs étant l’ADN même de Decathlon, l’entreprise pourrait tout naturellement évoluer vers la philosophie suivante : le sport se réapproprie la ville. Pour ce faire, et afin de favoriser l’accès au sport pour tous et de découvrir le sport urbain autrement, un parcours sportif numérique et à grande échelle où les structures seront disséminées à travers la ville serait aménagé (dans la continuité des parcours de santé en plein air et autres initiations actuellement proposés par l’entreprise).

L’axe physiologique

personnalisation

Peut-on réellement offrir à ses clients une expérience unique en continuant à déployer une offre de produits standardisés?
Dans le cadre de la présente démarche, un changement de paradigme semble incontournable. Ce dernier passe par la personnalisation du service, rendue possible grâce à l’intégration de nouvelles technologies comme l’impression 3D, le tissage et le fraisage à commande numérique. Qui n’a jamais expérimenté combien il est désagréable de conduire un vélo dont la taille du cadre ne correspond pas à sa morphologie ? Le consommateur n’aurait plus à s’adapter au vélo puisque le vélo s’adapterait spécifiquement à sa forme physiologique. Cette déclinaison permanente du produit présente deux avantages majeurs : d’une part, le client peut se procurer un article dernier cri (au choix, via un système de vente ou de location) et, d’autre part, il peut améliorer la qualité d’expérience grâce à l’ajustement optimal du produit en sa possession. Enfin, pour satisfaire les attentes croissantes des consommateurs, les équipements évoluent au gré des nouveaux besoins qui émergent.

À travers ce processus de design non linéaire, le créateur se rapproche davantage du consommateur. Pour avoir recours aux techniques de personnalisation tout en s’inscrivant dans un contexte écologique, les matériaux sont récupérés afin d’être réimprimés.
La démarche du distributeur se veut donc écologique puisqu’il n’a plus besoin de recourir à des matériaux bruts et il réalise de surcroît des économies non négligeables grâce à la disparition des frais de transport et de stockage.

L’axe psychosocial

gamification

Cette combinaison de la digitalisation avec l’innovation va même encore plus loin, la nouvelle fonction allant au-delà de l’utilitaire. L’espace commercial n’est plus uniquement fonctionnel, il devient plus dynamique, plus ludique, notamment au moyen de plusieurs modes de déplacement alternatifs.

Contrairement à l’achat en ligne où l’humain est matière première mais en même temps n’est plus au cœur du service, on assiste ici à la création d’un lieu d’échange et de socialisation. Le client n’est plus passif, au contraire, il devient acteur, en étant invité, de façon informelle, à enrichir son parcours d’achat de façon ludique. Le jeu en mouvement devient la clé, en famille ou entre amis, ou encore avec des inconnus, l’activité est collective et tout le monde peut participer, le dispositif étant conçu pour tous les niveaux de pratique et tous les publics.

Cette « gamification » revêt plusieurs aspects car elle ne révolutionne pas uniquement l’aspect logistique mais également la dimension sensorielle. L’univers des sens vient se greffer à l’univers du jeu. Les canaux sensoriels (visuel, auditif, olfactif et tactile) sont mis à contribution dans la lecture de l’environnement (par le biais de procédés interactifs, de caméras de détection de profondeur, de projecteurs, de diffuseurs d’odeurs et de sons, de dispositifs AR/VR, etc.). Le client ne se contente pas de jouer, l’immersion sensorielle, en mettant l’accent sur le registre émotionnel, lui permet de vivre pleinement une nouvelle expérience aussi épanouissante qu’inédite.

Les mécanismes issus du jeu sont sources de détente et favorisent l’adhésion. Ils permettent également de multiplier l’interaction avec le client qui se trouve ainsi fortement stimulé et impliqué. Ces éléments incitent le consommateur à nouer un véritable lien avec la marque, donnant ainsi lieu à une fidélisation pérenne. En véhiculant les valeurs de Decathlon, l’attrait et la motivation du client sont spontanément renforcés.

Plateforme: Vendre le contenant comme produit en axant sur les contenus.

Cette synergie entre différents canaux représente une solution attractive pour l’utilisateur et un lieu incontournable pour le consommateur contemporain, qu’il s’inscrive dans une démarche utilitariste, hédoniste ou encore éthique. La segmentation de Decathlon demeure inchangée puisque la solution proposée s’adresse à une cible large, aussi bien en termes de sexe, d’âge ou encore de centres d’intérêt. Idem pour son positionnement, la solution étant destinée aux passionnés, aussi bien amateurs que confirmés. Cette combinaison de stratégies marketing apporte également une réponse aux enjeux économiques de Decathlon. Ces trois pôles, en suscitant l’intérêt et l’engouement des consommateurs, présentent divers avantages : ils valorisent notamment l’image de la marque grâce au phénomènes sociaux numériques.

Enfin, ce système est à l’origine d’une optimisation réelle et continue des coûts, le tout en s’orientant vers une responsabilité environnementale. Avec ce projet, Decathlon brosse un tableau plus large : il apporte surtout un regard novateur sur la ville et la pratique du sport et va même jusqu’à transformer cette pratique en un véritable vecteur de lien social. En s’inspirant des nouvelles technologies de représentation, de fabrication et de socialisation, l’enseigne, en façonnant un environnement innovant et convivial, ouvre de nouvelles perspectives et signe l’émergence de nouveaux rapports.

 

Le titulaire des droits autorise toute exploitation des œuvres, y compris à des fins commerciales, ainsi que la création d’œuvres dérivées, dont la distribution est également autorisé sans restriction, à condition de les attribuer à son l’auteur en citant le nom de IFJ ARCHITECTURE.

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ARCADES

STRATES URBAINES

LUMINAIRE S1T1

PARKING IA

DAKAR

Maison D

CASAANFA120

Tinyhouse OZ

Centre d’équithérapie

Mairie 02 Bihorel

GUYNCOGE

AUBER

Rénovation d’une maison de maître à Préaux en Normandie

TOKYAMPH

QUINSTEI

ANFA Eco Quartier

MSALEC

GAME’S ON!

BELBCECI

VANNGUIL

CDGE

MTSACROC

Station Balnéaire DB

Maddyness Beaubourg

NOLEROUS

CARTIER sky

Restaurant Ai