ARCHITECTURE = FICTION

Passionnés par les tendances des innovations contemporaines et de leurs impacts sur l’environnement et sur la spatialisation collective. l’idée de la Fiction, ils questionnent l’architecture à travers différentes sujets actuels tels que le #ecoHactivisme, la #psycogeographieNumérique ou le #transhumanceSanitaire.
Pour @TLDR, si l’Architecture influence les pratiques sociales, ce dernier peut aussi guider le discours Architecturales. La fiction, pour TLDR,
est un banc d’essai, une réalité alternative permettant de déconstruire nos idées préconçues. Si la fiction est à la fois intime et altruiste, sensible et déstabilisante, pour TLDR, c’est d’un côté la volonté de spatialiser leurs
observations de manière itérative, de l’autre le désir de viser une meilleure condition d’être au monde.

Nous avons besoin de fiction car nous avons besoin d’espérer et de rêver.

La réflexion architecturale de l’agence IFJ ARCHITECTURE se base sur une articulation autour de trois axes : la Localité, la Temporalité et la Socialité.
Le tissage de ces trois notions sont pour l’agence, le substrat sur lequel l’architecture se projette et s’inscrit.

LOCALITÉ & ENVIRONNEMENT

L’écologie, par définition, est notre rapport aux lieux. Qu’ils soient matériels ou immatériels, de dimension environnementale, géographique ou symbolique, les lieux quelque soit leur nature préexiste au projet. Au-ourd’hui, plusieurs extra-lieux se projette simultanément aux lieux habituels. La réalité virtuelle, la visiophonie mobile, les commerces et restauration en ligne, sont plusieurs technologies de dé/relocalisation. Le travail de l’agence commence par un travail d’appréhension de la localité dans toute sa complexité, relevés photogrammétriques, reportage photos, etd iscussions avec les habitants du quartiers. A travers les superpositionse t les recoupements entre lieux et extra-lieux ils tentent de mettre en évidence les «mi-lieux». Les lieux sont pour eux une matière à travailler, des calques d’abstraction sur lesquels le projet architectural prends forme. En

jouant sur la complémentarité et l’hétérogénéité, le travail d’IFJ Architecture tend vers un projet idoine et sensible en ramenant au premier plan ce
qui est latent et implicite : la localité.

TEMPORALITÉ & CYCLE DE VIE

Les nouvelles technologies altère notre rapport au temps, elles polarisent ce en quoi la structure de notre société post industrielle tend, à savoir l’instantanéité et l’immédiateté. Ce faisant elles nous placent de fait, vis à vis du temps, dans des logiques de consommation et d’urgence. Si chaque
espace possède son propre rythme, l’identité de l’édifice se cultive dans sa durée. Retrouver ce tempo propre à chaque lieux permet à chacun de
se réapproprier le temps. Cette réflexion pousse l’équipe IFJ Architecture à entrevoir l’architecture dans une temporalité, divers moments de la journée, les saisons, les évènements qui animent la ville, l’histoire du site / de l’existant, le temps de la construction, la durée de son usage futur, à son éventuelle reconversion.

SOCIABILITÉ & ÉTHIQUE

La sociabilité est un point essentiel dans la fabrique de l’espace car la cohabitation préserve l’habitabilité de notre monde. Dans une culture connectée que nous vivons aujourd’hui, il est important de questionner nos modes d’interventions en tant qu’architecte. Nous concevons des espaces pour des usagers, des communautés et des cultures connectés et informés. Tiers-lieux, CoWorking, balise urbaines, Fablab, Projets participatifs, partagés et expérimentaux. Pour IFJ Architecture, La co-conception relève du changement de paradigme nécessaire à l’écologie sociale, dans une perspective altruiste et capacitante nécessaire au bien-être de notre société. Alors que le besoin d’un ancrage fait place à l’exigence de flexibi-
lité liée aux mutations de la vie contemporaine. l’Architecte aujourd’hui dessine des espace non plus comme des machines à habiter mais des potentiels d’expériences futurs en mutation. En séparant les espaces, l’architecture doit relier les usagers. En arrêtant les mesures, elle doit libérer la créativité des usages.